2076. Côte est des Etats-Unis. Megalopolis est le centre névralgique d'une guerre géo-politique mondiale depuis qu'un attentat biologique en 2026 a divisé l'humanité en deux populations bien distinctes : ceux qui se battent pour le futur, et ceux qui font avec le présent.
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 [Garin/Lisbet] Soirée à l'opéra

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Lisbet Miller
Lisbet Miller
De part son métier la dernière foi qu'elle était venu à l'opéra c’était dans le cadre d'une protection rapprocher d'une des huiles de la W. Ce soir la elle avait découvert ce qu'était réellement cette forme d'art et contre tout attente elle avait aimé ça.

Pour cette représentation unique de la Traviata elle avait réussi à obtenir une place pour deux personne dans l'un des balcons réservé au vip. Car ce soir elle allait à l'opéra pour son seul et unique plaisir personnel. Elle portait une robe que Sky aurait certainement qualifié de robe de princesse, robe qui mettait en valeur tout ce qu'il fallait mettre en valeur.  Elle avait apprécié de passer sa journée a se faire pouponner dans l'un des salons de beauté le plus en vue du moment dans la haute. Lisbet était en congé et avait décidé de se la jouer Pretty woman, mais en mieux. Elle ne devait pas se coltiner de boulet qui voulait changer ce qu'elle était.

On a beau apprécier l'odeur de la poudre et les montées d'adrénalines, le luxe avait aussi son coté grisant. C'était ceux pourquoi elle travaillait dur, elle ne finirait pas comme ses parents et tous ces fainéants qui ne faisait rien pour changer leur conditions et passaient leur temps a s’apitoyer sur eux même et à a accusé la société pour leur malheurs.

La veille elle avait apprécier le massage relaxation prodigué par cette sublime femme asiatique, et n'avait pas hésité à l'invité pour la soirée à l'opéra pour profiter de ses mains experte et délicate ainsi que de sa peau satiné plus tard, beaucoup plus tard, dans la suite qu'elle avait loué. Quand elle descendit au rez de chaussé de l’hôtel, Sophie patientait au bar, elle portait une robe de style Qipao vert foncé. Un homme en costume trois pièces lui parlait, tentant visiblement de la séduire, aussi quand Lisbet arriva elle s'empressa de prendre congé poliment mais fermement de l'individu.

Les deux jeunes femmes attendait désormais qu'une des limousines de l’hôtel viennent les récupérer pour les conduire à l'opéra. Après l'opéra Lisbet avait réservé une table dans l'un des nombreux restaurant coté, mais avait préféré celui qui offrait la meilleur vue sur la ville. La limousine arriva et elles montèrent à l'intérieur ou une bouteille de champagne et des fraises les attendaient.  Elles devisèrent de tout et de rien mais les regards qu'elles s'échangeaient étaient sans équivoque, le courant passait très bien entre elle. Toute deux trinquèrent et Sophie maintenant qu'elles étaient à l’abri des regards  déposa  ses lèvres délicatement sur celle de Lisbet, et cette dernière savoura avec gourmandise les lèvres de l'asiatique ou se mêlait des parfums de fraise et de champagne.

La limousine finit par s’immobiliser, devant le tapis rouge de l'entré de l'opéra ou un employé portant un costume tiré a quatre épingle vint leur ouvrir la porte. Sophie sortie la première suivit de Lisbet et toute deux se tenant par le bras gravir les marches les menant vers le hall d'entré de l'opéra.
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Garin DeLyons
Garin DeLyons
C'est terrible à dire, mais plus on a l'habitude d'être seul, plus on rejète la compagnie. Est-ce que j'avais tout dit à Sky sur ma vie ? Non, pas vraiment. Il y a des choses que je préférais garder pour moi, parce que c'était si personnel, et révolu aussi. Comme si Daniel et moi formions deux personnes tellement différentes. Parfois, j'aimais le retrouver, mais seul. Bodgan saurait tellement jouer aux chaises musicales avec ces identités, ce n'est pas trop mon cas. J'aime bien Jack Daniels, cela dit, c'est un p'tit marrant, mais c'est surtout un mec compétent. Garin est un p'tit con que personne ne prend au sérieux, une petite frappe victime de sa propre vie. Parfois, j'ai envie d'être moi-même, de me souvenir ce que j'étais et d'imaginer ce que j'aurais pu être. Juste un soir, de temps en temps.

Quand bien même je montrais mon ticket au nom de Jack Daniels, je venais en tant que Daniel Day. Moi-même. Je me souviens d'une époque où j'aimais l'opéra. Il n'y a pas de Positifs dedans, on se contente des classiques et on pense à autre chose. C'est ce que j'étais venu chercher ce jour-là : une pause. Un petit moment en tête à tête avec moi-même. Il fallait que ce soit un opéra sans un seul piano. J'ai soupiré à l'idée, étant un amoureux de Chopin - et pour cause, j'avais choisi mon instrument par amour pour sa musique - mais j'ai décidé d'apprécier de la même manière.

Je me suis installé au balcon - l'avantage d'être un p'tit con d'emmerdeur une grande partie de la journée : on connaît des gens qui connaissent des gens - et j'ai retiré ma veste pour retrousser mes manches et déboutonner mon col. Je me passe une main dans les cheveux pour les ébouriffer et leur rendre leur caractère. Faut pas déconner, non plus. Je veux bien me déguiser en pingouin pour entrer, mais une fois sur place, je me mets à l'aise.

Et à l'aise, ça veut dire... Un pied en appui sur la rambarde du balcon en attendant que ça commence. J'ai inspiré profondément et j'ai soufflé pour apprécier l'endroit, son architecture, son odeur... Toute cette Histoire. Je crois que d'une certaine manière, je ne voulais pas ennuyer Sky avec mes trucs de... Vieux ? Elle aurait probablement aimé l'opéra, d'ailleurs. Mais il y a des choses que j'aime apprécier... Seul. Ca fait partie de mon caractère de merde.
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Lisbet Miller
Lisbet Miller
Les deux jeunes femmes se dirigèrent en premier vers le vestiaire ou l'on s’occupa de les débarrasser de leur manteaux, puis elle furent guidées vers leur places. Par habitude discrètement le regard de Lisbet repéra les systèmes visible de sécurité, tel que les caméras, et divers autres détecteurs. Elle remarqua que certain employer remplissaient bien plus que d'autre leurs costumes à cause de leur masse musculaire. Une légère caresse de la main fine de Sophie, dans le creux de son dos, ramena la fausse brune vers le véritable objet de cette soirée : une soirée de détente et de plaisir .

Le couple arriva enfin au balcon, et s'installa sur leur fauteuils réservé, ou une serveuse leur apporta sur un plateau argenté une coupe chacune de champagne rosé. Non vraiment il ni avait pas a dire, ça c'était la grande classe, elle avait bien fait de quitter le public pour rejoindre le monde des méga-corporations internationale. Les yeux pétillants de plaisir, Sophie et Lisbet croisèrent leur bras pour ensuite porter à leur lèvres leur coupes de remplie de cette boisson française a la renommé internationale.

-Merci encore Lisbet de m'avoir invité, cette soirée est …

-Cette soirée est loin d'être terminé Sophie, savourant la tranquillement avant son apothéose...

Du coin de l'oeil Lisbet repéra un homme installé non nonchalamment sur le même balcon, et sa silhouette lui rappelait quelqu'un, tout ce qu'elle espérait c'est qu'il ne s’agisse pas d'un ancien amant. Pour cette soirée elle ne désirait que goûter aux charmes exotiques de Sophie ou quelque soit son véritable nom.
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Garin DeLyons
Garin DeLyons
S'il y a bien un endroit où je ne pensais pas retrouver des gens de mon entourage, c'était bien ici. En entendant les verres cliquer dans mon dos, j'ai tourné la tête pour voir les deux femmes, dont l'une d'elle me semblait familière. Et j'ai une très bonne mémoire, surtout photographique. Ca va avec ce don de vision que je me paye. un truc dont je n'avais pas parlé à Sky, tiens. Pour ma défense, depuis que mon pouvoir avait évolué, je n'avais plus autant de visions qu'avant. Avant, il suffisait de me toucher pour que je manque de m'étouffer et que je revive des scènes du passé. Aujourd'hui, j'avais la peau plus dure, et la tête aussi. Je n'avais pas travaillé ce côté là de mon pouvoir encore. Je crois qu'il me flanquait trop les boules pour m'y pencher sérieusement.

Comme à chaque fois que je mets un pied dehors, et notamment dans des sphères peuplées, je mets mes lentilles de contact vertes. Ca me permet de passer quelque peu inaperçu, qui ne remarquerait pas un mec aux yeux couleur or ? Quand j'ai la flemme, je mets des lunettes de soleil, mais ça n'allait pas très bien avec la scène de l'opéra.

Et puis ça m'est revenu. Le prof de boxe de Sky. MA CHANCE ! J'ai retourné la tête pour regarder la scène et j'ai pesté les lèvres pincées en m'appuyant le front sur deux doigts, histoire de dissimuler mon visage sans pour autant avoir l'air de me cacher. C'était bien ma vaine, tiens... Je vous parie que c'était le genre à balancer. Heureusement que j'étais pas venu accompagné !

Même en Ville Haute, on ne pouvait plus venir passer du temps avec soi-même tranquille !
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Lisbet Miller
Lisbet Miller
Bon si elle avait eut un doute, maintenant c'était sur, qui que soit cet homme il devait la connaître elle ou bien Sophie. Elle était sur de l'avoir vu tourner la tête vers elles, et retourner ensuite son regard vers la scène mais son langage corporel trahissait une certaine nervosité....a moins que ce soit juste le fait de voire deux belles femmes se dévorer des yeux. Ou un peut de tout ça en même temps.

-Je crois que l'ont a mis mal à l'aise ce monsieur.


Ah zut, Sophie semblait l'avoir remarqué aussi.

-peut-être, mais ce n'est pas notre faute, il y a toujours eu des gens coincés et il y en aura toujours. Tu n'as qu'a jeter un petit coup d’œil de l'autre coté, ce couple de quinqua sentant bon la vieil Amérique, Monsieur est outré et Madame semble du même avis....pourtant ne perçois tu pas une pointe d'envie dans son regard....


Lisbet lâcha un rire léger à peine dissimuler par sa main avant de déposer un doux baisé sur les lèvres de Sophie, s'en oublier de glisser son regard vers la femme du couple. Quoi elle pouvait bien s'amuser aussi. Son amante de la soirée remarqua le petit jeu de Lisbet, et décida de jouer elle aussi en faisant de même dans l'autre direction, vers énigmatique homme solitaire. La température ne venait elle pas de monter tout dans d'un coup sur ce balcon ?

-Finissons nos coupes avant que le champagne ne soit tièdes, l'opéra ne devrait plus arder a commencer maintenant.
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Garin DeLyons
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Si j'étais coincé, ça se saurait. Je n'ai pas pu m'empêcher d'entendre ce qu'elles disaient et j'ai roulé des yeux. C'était bien ma vaine ! Leurs ébats ne me faisaient ni chaud ni froid, j'aime autant le dire. Je sais pas qui a inventé ces fantasmes lesbiens, mais c'était pas pour moi. Cependant, je n'ai rien dit. Ca me dérangeait, parce qu'on était à l'opéra et qu'on attendait plus de tenue de la part du public, mais... Regardez-moi, je n'étais pas le plus parfait du balcon, non plus. L'autre couple, en revanche, s'est exprimé.

"Mesdames ! Il y a des endroits spécialisés pour ce genre de débauche !!!"

J'ai pincé les lèvres pour dissimuler un rire et seul un grognement amusé a émergé de ma gorge. J'ai toujours adoré les gens de la Haute. Ils s'offusquent d'un rien. Ils ont un balais tellement enfoncé dans le fondement ! J'aurais été avec Sky, j'en aurais volontiers rajouté une couche. Juste pour les énerver !
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Lisbet Miller
Lisbet Miller
C'était tellement facile de choquer ces gens de la Haute, Lisbet avait faillit laisser éclater un fou rire incontrôlable en entendant l'homme s'adresser à elles. Oh Lisbet était persuadé que ce brave hommes devait les connaître en plus ces fameuses adresses. Les personnes les plus dépravé qu'elle connaissait pétait dans la soie, elle avait bien vue plus de perversions et de déviances sexuel parmi tout les cols blancs de la haute que dans la basse ou la médiane. Mais voilà il fallait maintenir les apparences, Lisbet pris un air outré avant de répondre a ce si gentil monsieur.

-C'est fort aimable de votre part de vouloir nos proposer vos adresses préférés mais nous ne sommes pas intéressées.

Continuant à afficher un air contrit, Lisbet continua à parler à Sophie mais juste assez fort pour que leurs voisins les plus proche peuvent entendre.

-Je suis désolé Sophie j'oublie toujours que quand deux femmes osent s'embrasser un peut en public, tous les pervers autours s'imagine déjà un « plan » à trois. Ce monsieur avait pourtant l'air si distingué.

Timing parfait la salle se mit a bruisser légèrement avec l'arriver des musiciens de l'orchestre dans la fosse. La salle était quasiment pleine maintenant, l'opéra n'allait vraiment plus tarder. Les coupes de champagne étaient vides, Lisbet et Sophie se tenaient a présent tranquilles, bien caler dans leur fauteuils. Seul l'ennuie avait motivé la blonde a se distraire des douces lèvres de son invité a cette soirée à l'opéra. Maintenant que l’œuvre était sur le point d'être joué elle ne tolérerait aucune distraction, aussi séduisante soit elle.

La musique commença a résonner enfin, Lisbet ferma ses yeux comme pour se concentrer exclusivement sur elle.

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Garin DeLyons
Garin DeLyons
J'ai toujours aimé l'opéra. En silence. Lisbet était provocante, mais pas le genre Sky-provocante, le genre... Dangereux. Le genre qu'on préfère rester loin. J'ai froncé les sourcils et l'aie regardée par-dessus mon poing avec un soupir lassé. J'ai secoué la tête en reportant mon attention sur la scène. C'est pas parce que t'es gay qu'il faut en faire tout un show... Vous vous imaginez si le vieux s'était peloté avec sa femme en plein balcon à côté de nous ? Je crois que ça m'aurait autant dérangé que deux gonzesses qui se gratte les amygdales dans mon dos... Est-ce que je m'asticotais la pomme en solitaire ? Pas que je sache. J'avais juste mon pied rebelle, pour le reste, je savais me tenir. Je regrettais même de ne pas avoir amené Sky. J'ai regardé mon téléphone une seconde alors que la lumière tombait. j'aurais au moins pu lui envoyer un message... Ou lui dire où j'étais. Quel mal y avait-il à vouloir passer un peu de temps avec soi-même ? J'ai rangé mon téléphone et je me suis concentré sur la musique.

J'aurais aimé apprendre le violon ! C'est chouette comme instrument ! Mon père préférait le piano, alors j'ai dit banco. Et puis, c'est tout aussi noble le piano. Sinon plus. A la base, ma famille est riche, c'est juste ma mère le vilain petit canard. Des fois, je me demande s'il reste des grands parents, des cousins à moi quelque part dans le monde. Ca serait marrant de savoir. Je serai le Positif de la famille. Je leur foutrais les miquettes juste en levant l'index, ça serait trop fun.

Soit dit en passant, il était pas trop tard pour apprendre un nouvel instrument. L'idée a germé pendant le spectacle. Je voulais apprendre le violon, puis le violoncelle ! En fait, chaque instrument qui passait sous mes yeux, je voulais l'apprendre subitement. Mon père m'a tout de même enseigné l'art de la musique, il m'a transmis son amour. Et c'est un domaine dans lequel je suis doué, en plus. Banco, je me suis dit, demain, je trouve un prof et je m'inscris. C'est ce que j'ai fait d'ailleurs, parce que quand j'ai une idée dans la tête, je l'ai pas au cul. Mais pendant l'opéra, je me disais qu'un peu de romantisme au mariage, ça ferait pas de mal à Sky. Ouais. Le mien de mariage. J'entendais déjà ma cousine fictive s'étouffer dans son Margaritas en bord de piscine à Tunis. C'est dingue les fantasmes glamour et désirs de luxe qu'on peut s'imaginer devant un opéra dans une salle pareille.

Voilà pourquoi j'aimais passer du temps seul. Ca me permettait de réfléchir avec une meilleure objectivité, de prendre du recul, de retrouver quelques racines pour mieux grandir dans sa tête.
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Lisbet Miller
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La musique, les chants, les chorégraphies tout cet ensemble la transportait loin de se quotidien. Lisbet se laissait porter par l'opéra qui se jouait, elle en oubliait presque tout ce qui l'entourait, et pour un peut commençait a regretter d'être venu accompagner aussi séduisante que Sophie pouvait l'être. Et puis comme sortit de nul part, elle se souvint d'un coup qui était le beau gosse solitaire non loin. Daniel, l'amoureux de Sky, le pauvre elle espérait vraiment qu'il n'imaginait pas qu'elle avait des vues sur sa princesse au vue de sa compagnie du soir.

Sophie remua a son coté, lisbet tourna la tête vers elle d'un air quelque peut réprobateur. Elle lui glissa au creux de oreille qu'elle devait aller aux toilettes avant de se lever et de partir à leurs recherches. L'élément perturbateur partie Lisbet put se replonger dans la musique, ce n'est qu'a la fin de l'acte 2 qu'elle remarqua que la belle asiatique n'était toujours pas revenu. Cela faisait un peut long pour un tour au toilette même pour faire une grosse commission. Pour autant elle n'allait pas se lever pour partir à sa recherche, du moins pas temps que l'opéra soit terminé.....

Le prélude de l'acte 3 emplissait maintenant l'opéra, toujours pas de Sophie, puis une rafale d'arme automatique fit voler les boiseries du décor et la musique fit place à des cris de panique et de douleur. Une voix modifier par un porte voix résonna entre deux nouvelle rafales.

-Messiers et Mesdames l'opéra est désormais sous notre contrôle, et si vous essayez de contacter l'extérieur vous constaterez que le réseaux est bloqué. Si vous essayez de fuir et bien …


L'homme cagoulé qui postillonnait dans le porte voix, pointa son arme sur un homme de la sécurité positionné genoux à terre et les mains liés dans le dos et lui colla une balle dans le front, faisaint ainsi voler en éclat l'arrière de se crane.

Et merde pour une foi qu'elle portait une belle robe, d'ordinaire elle ne se serait préoccuper que de sortir ses fesses de se merdier....mais Sky le prendrait certainement mal si elle laissait Daniel dans ce merdier. Lisbet entreprit de se rapprocher de lui mais pile à se moment la porte menant a leur loge s'ouvrit devant une Sophie en tenue para militaire et armer d'un pistolet mitrailleur. Derrière elle il y avait au moins deux autres individus.

-elle est la, cette putain qui trahit les positifs en bossant pour la W !!!


Une soirée qui avait si bien commencé....
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Garin DeLyons
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Est-ce qu'il y avait un endroit dans cette ville où on pouvait être tranquille ? Où il ne pourrait rien arriver ? Visiblement... Non. Ca devenait relou, parce que j'étais déjà un mec de terrain et d'action, alors, quand je choisissais un endroit qui n'avait rien à voir avec moi, c'était initialement pour me reposer. Et bien sûr, il fallait qu'on vienne me gonfler. J'en avais même oublié Lisbet la narcissique dans mon dos. Si j'avais su ce à quoi elle pensait à ce moment-là, j'aurais tellement ri qu'on aurait vu la Castaphiore débarquer sur scène, scandalisée qu'on lui pique la vedette ! Je me fichais pas mal d'elle, pour être honnête. Je détestais ce qu'elle représentait et je n'aimais pas son influence sur Sky, mais en soi, elle-même... Elle ne m'importait pas. Du coup, qu'on s'en prenne à elle, ça aurait dû me faire plaisir, non ? Je veux dire... J'étais d'accord avec sa nana... C'était précisément la raison pour laquelle j'étais pas fan de cette fille. Est-ce qu'elle méritait pour autant de crever ? MMhhh... Pas sûr.

Et sûrement pas dans un opéra à 250 dollars LA place. Ouais, je m'étais fait plaisir, ce soir-là.

J'ai compris qu'il se passait un truc vraiment moche quand j'ai vu la tête du gars se répandre sur une partie des spectateurs. Bien sûr, tout le monde s'est mis à crier et à détaler comme des lapins vers la sortie. Je suis resté figé, tellement j'y croyais pas. En attendant, on était à la Haute. Alors dire à des riches de pas bouger, c'était comme leur parler une langue étrangère. Ca m'a rappelé Liberation. Ca m'a rappelé des tas de trucs et quand j'ai entendu Sophie derrière nous, je me suis retourné et... Je me suis dit que pour le coup, c'était encore les Positifs qui foutaient la merde. J'en avais plein le cul. Sincèrement, on s'en sortait plus dans cette ville.

"Vous savez combine il est difficile de se faire apprécier dans cette foutue ville ?"

Je me suis levé et je me suis tourné vers Sophie en bombant le torse. On aurait pu croire que je faisais le fier, mais j'avais besoin de mon propre gilet par balles. Cette connerie me coûterait cher, encore, vous allez voir. J'ai blindé mon torse, je savais ce que ça me ferait si on me tirait dessus. Pas du bien, mais rien de mal.

"Moi aussi, j'bosse à la W." J'ai mouliné d'un poignet. "Encore que, moi je suis pas Positif, alors... Mais si vous voulez buter tous ceux qui bossent à la Waleman, donc..." J'ai reniflé et j'ai retroussé les manches de ma chemise. "Par lequel je commence ?"
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Lisbet Miller
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Hein ? Mais y jouait a quoi Daniel la ?! Lisbet était sur d'une chose c'est qu'il ne travaillait pas a la W, alors soit il était suicidaire, soit il était sur de lui. Dans les deux cas de toute façon leur situation actuel était merdique. Mais Sophie et ses deux acolytes n'étaient certainement pas la par hasard, ou pour la tuer directement sinon ils auraient utilisé leur armes directement en ouvrant la porte ou même sans l'ouvrir. Le couple de quinqua étaient eux paralysé par la peur, l'un des cagoulés pointa le canon de son arme sur eux mais Lisbet ne fit même pas mine de bouger, par contre quand l'autre visa Daniel, la fausse brune ce jeta sur l'anglais pour le protéger de son bouclier télékinétique. Elle ne pouvait savoir que la rafale de projectiles de plomb n'étaient vraiment une menace pour lui.

action...:
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'Quitte ou double' :
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Garin DeLyons
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Pourquoi je sors jamais armé ?

Dites-moi quoi ?

Tout simplement parce que je me sens jamais menacé pour de vrai. Au boulot, c'est une sécurité obligée, mais dehors ? Pourquoi faire ! J'ai un Yu qui me protège de base. Alors même pas peur. Quand l'autre tarlouze m'a menacé de son arme, j'ai haussé un sourcil. Vraiment ? Je dis que je suis de la Waleman et bim, je morfle du buffet ? Si ça, c'est pas de la discrimination, je sais pas ce que c'est.

J'ai renforcé un peu plus mon torse en me disant que si je devais en manger une, j'apprécierais qu'elle me déglingue pas les côtes. On n'est jamais trop prudents. Sauf que voilà... Captain Marvel avait décidé de se prendre pour Iron Man. J'ai juste eu le temps d'inspirer profondément pour la retenir sous les bras.

Entre elle qui me tombe en arrière dessus et la balle qui m'atteint, j'ai tangué.

SUCCÈS SUCCÈS : La balle frappe pile l'endroit où David avait tiré une fois, juste avant le l'évolution du pouvoir de Garin, faisant de cette zone de la cuisse la plus résistante de son corps, naturellement.
SUCCÈS ÉCHEC : La balle frôle sa tempe, le brûlant à quelques centimètres de l'oeil
ÉCHEC SUCCÈS : La balle frappe l'épaule
ÉCHEC ÉCHEC : La balle frappe l'avant-bras, la partie la moins renforcée de son corps actuellement

La rangée de fauteuil derrière nous m'a retenu de tomber en arrière, mais j'ai poussé un cri en sentant la brûlure de mon bras. Je l'ai immédiatement renforcée pour limiter les dégâts. Sans bénéficier d'assez de temps pour extraire la balle et combler la plaie avec mon pouvoir, je me suis redressé, permettant à Lisbet de faire de même, le regard mauvais, cette fois.

"Comme si j'avais que ça à foutre mon jour de repos !"

J'ai propagé mon pouvoir à mes bras et jusqu'au bas du ventre avant de... Foncer dans le tas pour une jolie danse du poing, à commencer par leurs armes. Toujours désarmer avant d'attaquer. J'ai attrapé les canons - et ils pouvaient me tirer dessus, je m'en soucierais plus tard - et m'en suis servi comme points d'appui pour leur faire manger leur crosse dans la mâchoire.
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Lisbet Miller
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Lisbet ne bouge pas visiblement sonné par l'impact.

La surprise de la riposte de Garin après que ce dernier se soit pris une balle dans l'avant bras, lui permit de se saisir sans encombre des deux canons et d’enchaîner pour leurs refaire les dents de devant....


Cagoulé 1:


Cagoulé 2:


Sophie:

(hj: bon j'espère que ça tient la route à peut près)
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#1 'Quitte ou double' :
[Garin/Lisbet] Soirée à l'opéra De_1 [Garin/Lisbet] Soirée à l'opéra De_1

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#2 'Quitte ou double' :
[Garin/Lisbet] Soirée à l'opéra De_2
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Garin DeLyons
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Le bon angle de tir, quand je renforce l'avant, c'est de me choper par derrière...

Dé #1 :
SUCCÈS SUCCÈS : Le fait que cagoulé 1 soit apparu magiquement devant Garin pousse celui-ci à renforcer la totalité de son corps et les balles se plantent dans sa peau mais sans s'enfoncer, comme si l'épiderme même les arrêtait.
SUCCÈS ÉCHEC : Garin a le temps de renforcer son corps, mais Sophie vise le genou.
ÉCHEC SUCCÈS : Garin n'a pas le temps de renforcer son corps mais Sophie vise la cuisse, là où il est naturellement protégé depuis l'évolution de son pouvoir
ÉCHEC ÉCHEC : Garin n'a le temps de rien, pris au dépourvu et il encaisse de nouvelle(s) balle(s)

Dé #2 : Si SUCCÈS ÉCHEC
SUCCÈS : Garin bouge à temps
ÉCHEC : Garin est à terre

Dé #2 : Si ÉCHEC ÉCHEC
SUCCÈS : Une seule balle l'atteint en haut de l'épaule
ÉCHEC : Garin est frappé d'une balle de chaque, une à l'épaule, l'autre dans les côtes


J'aime pas beaucoup les Sliders, on a toujours du mal à les contrôler et à pouvoir les anticiper. La balle de Sophie s'est plantée dans ma cuisse et j'ai pincé les lèvres. Autant rassuré de sa cible que sentant le vent tourner et le danger me gagner. J'ai alors renforcé toute ma peau, partout. Je veux dire... Qu'en gros, il me restait environ une dizaine de minutes pour me les faire tous, être à l'épreuve des balles... Avant de tomber raide mort sur le sol sans une once de protection. Tout le monde a un contrecoup, pas vrai ?

J'ai eu l'impression de grandir et de grossir... Ma peau s'est presque mise à briller, comme le sable en plein soleil et mes yeux sont devenus encore plus ambrés à travers les lentilles vertes. J'avais la force de 10 hommes et l'invulnérabilité d'un Superman... Mais seulement pour quelques minutes.
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#1 'Quitte ou double' :
[Garin/Lisbet] Soirée à l'opéra De_2 [Garin/Lisbet] Soirée à l'opéra De_1

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#2 'Quitte ou double' :
[Garin/Lisbet] Soirée à l'opéra De_2

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#3 'Quitte ou double' :
[Garin/Lisbet] Soirée à l'opéra De_1
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Lisbet Miller
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Le dreamer (cagoulé deux) aurait put voir 36 chandelles si en plus de perdre des dents, sans compter la fracture possible de la mâchoire, le coup poing renforcé de Garin ne l'avait pas mis K.O.

Sophie écarquille les yeux, non seulement sa balle n'a visiblement aucun effet, de plus  la peau de Garin se met à réfléchir le moindre éclat de lumière et ses yeux prennent une couleur étrange. Avant d'avoir le temps de dire ouf, ses doigts se crispent soudainement, devenant aussi rigide que du bois.

-Bordel pas maint.......

Sophie n'a pas le temps de finir sa phrase que tout son corps se tétanise, l'asiatique perd l'équilibre et tombe au sol aussi raide qu'un mannequin de magasin de fringues.

Il ne reste que le journey Man, toujours debout et opérationnel. Mais il ne peut compter sur son pouvoir immédiatement, ou bien il risquait de se retrouver coincé dans le flux temporel, la dernière foi cela lui avait pris 3 jours pour se dégager enfin du point de vue de ses camarades, pour lui c'était comme si 3 ans c'était passés. Hors de question pour lui de repasser par la, sans trop réfléchir plus en avant il recule précipitamment pour tenter de rejoindre le couloir non sans se mettre à gueuler pour rameuter des renforts.

Lisbet de son coté étouffe un râle de douleur, du plomb dans l'épaule c'est toujours douloureux, à moins que se soit sa meilleur amie la migraine qui soit de retour ou les deux à la fois. Mais au moins si elle a mal c'est qu'elle est bien vivante.
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Garin DeLyons
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Comme quoi, on peut être petit mais costaud... L'inconvénient, c'est quand j'ai voulu rattraper le gars. J'étais tellement lourd et dense que faire un pas me demandait une force incommensurable. Il m'aurait sûrement fallu deux balances, juste pour mes pieds. Non content de les faire fuir, j'aurais voulu avoir des réponses. Alors j'ai attrapé Sophie par le col et l'ai soulevée contre le mur pour la fixer. Inconsciente ou pas, j'allais la réveiller. Quelques tartes dans la trogne.

"Hey, Aurore, c'est pas l'heure de dormir."

J'ai tourné la tête vers Lisbet. Vivante, mais attaquée quand même.

"Tu peux conduire ?"
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Lisbet Miller
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A la première tarte Sophie ne réagit pas, son corps toujours tétanisé, mais déjà à le seconde Garin peut constater que le corps de la femme asiatique se relache, à la troisième elle écarquille les yeux et inspire à fond, comme quelqu'un venant de remonter à la surface après avoir plonger en apnée. Réalisant sa situation elle fusille Daniel du regard et siffle un seul mot entre ses dents.

-traitre !!!

De son coté Lisbet à profité de ce joyeux intermède pour se rapprocher du  bloc de granit tenant lieu de petit amie de la faiblesse de Miss Miller, Sky.

-ouais ça devrait aller, mais ne brûlons pas les étapes, faut dégager d'ici avant.

Tout en répondant la jeune femme ramasse l'arme du dreamer, elle l'aurait bien achevé le gus mais vue la situation autant ne pas gâcher de munition. Avec une balle dans l'épaule tirer en rafale n'était pas une bonne idée aussi la fausse brune pris de soins de régler le pistolet mitrailleur au coup par coup, histoire de pouvoir tirer d'une main sans trop de recule.

-j'te laisse passer devant t'as l'air de bien encaisser le plomb.
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[Garin/Lisbet] Soirée à l'opéra
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